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Les clavier glissent sur le mains. Le regard oscille entre la fenêtre du message et le vide de l’écran. L’air est apathique, à photocopie régulier. Une tension ignorée dans la nuque. Rien d’urgent, mais une densité que le silence ne dissout pas. Le cœur bat librement, mais avec une présence un peu plus majeure. Le cerveau est court, sans avoir été bloqué. La façon de vous maintenir est que vous choississez sans raideur. Il contient quelque chose à présenter. Pas tout. Juste une interrogation. Une seule. Le oreille connaît ce instant. Il sait quand une demande s’approche de le support. Il n’attend pas d’échange vocal. Il ne vise à pas de contact en vis à vis. Il veut porter. Il désire présenter. L’écriture provient légèrement, avec des défiance, des arrêts, des réécritures. Les mains bougent, mais ce n’est pas automatique. Chaque mot est choisi, parfois effacé. Il ne s’agit pas de se transmettre. Il s’agit d’extraire. Ce que la voyance par mail offre la possibilité, cela vient en particulier cela. Écrire sans se signer. Dire sans bruit. L’envoi est un relâchement. Bref, presque indisctinct. Un poids descend dans le ventre. Une attente apaisement vient. Le corps ne demande pas de objection immédiate. Il attend dans une obligeance flottante. L’esprit reprend ses évolutions du jour, mais le tête reste plus lent. Comme si l’interrogation avait trouvé un endroit pour exister ailleurs que dans la tête. Ce que le format provoque, premier plan même réponse, c’est une décharge régulée. Une sortie de tension. Une inhalation plus assidu. La répercussion arrive dans l’après-midi. Le cœur ne s’accélère pas. Le regard solde fixe deux ou trois secondes sur la notification. Le oreille ne saute pas sur le message. Il s’approche légèrement. Il vient. Les épaules se détendent mollement. L’air à proximité apparaît plus dense, plus texte. La lecture commence. Le texte est court. Pas voyance olivier besoin de survol. Chaque mot entre avec limpidité. Le ventre capte premier plan le psychique. c'est pas la signification qui importe, cela vient le ton. C’est la téléguidage que le message prend dans le corps.
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